Перевод песни Qu'est-ce qu'on était beaux — Patrick Fiori (Патрик Фьори)

Ah, ah, ah, ah,
Mais qu’est-ce qu’on était beaux!

À pied ou à vélo
On ira jusqu’à Londres.
Une guitare sur le dos,
On fera le tour du monde.

Qu’importe les saisons,
Les vents qui soufflent contre,
On chantera les chansons
Qu’on écrira ensemble.

Mais la Terre est ronde
Et on en est revenu.
On connaissait la fin
Depuis le début.

Ah, ah,
Qu’est-ce qu’on était beaux!
Ah, ah,
Mais qu’est-ce qu’on était beaux!
Ah, ah,
Mais ça valait la peine.
Ah, ah,
On a bien ri quand même.

Putain, on s’est couché trop tard,
On s’est levé trop tôt.
4h, t’es en retard,
Fallait prendre le métro.

On prend les risques à prendre
Pour s'laisser se surprendre,
Quitte à tout perdre,
Allez, au pire, on pleure ensemble.

Mais la nuit est longue,
Et certains sont pas revenus.
On connaissait la fin
Depuis le début.

Ah, ah,
Qu’est-ce qu’on était beaux!
Ah, ah,
Mais qu’est-ce qu’on était beaux!
Ah, ah,
Mais ça valait la peine.
Ah, ah,
On a bien ri quand même.

Même enfance, même endroit
Sans jamais se croiser.
Qui dit qu’on ne choisit pas
L’endroit où on est né?

Ces choses qui se construisent
Nous réclament du temps.
Regarde comme tu es beau!
Regarde comme tu es grand!

De cette morale enfin
Qu’est-ce qu’on a retenu?
Qu’on connaissait la fin
Depuis le début!

Ah, ah,
Qu’est-ce qu’on était beaux!
Ah, ah,
Mais qu’est-ce qu’on était beaux!
Ah, ah,
Mais ça valait la peine.
Ah, ah,
On a bien ri quand même.

— C’est sur la pointe des pieds
Que je te retrouve enfin.
— Je savais que tu reviendrais
Sur le droit chemin!

— J’ai pris le temps, tu sais,
De guérir mes blessures...
— ...Ces blessures qui nous rendent
Plus sages, j’en suis sûr.

— J’m’attendais plus à rien...
— Oui, mais moi, j’y ai cru!
— Tu connaissais la fin...
— ...Depuis le début!

Ah, ah,
Qu’est-ce qu’on était beaux!
Ah, ah,
Mais qu’est-ce qu’on était beaux!
Ah, ah,
Mais ça valait la peine.
Ah, ah,
On a bien ri quand même.

Ah, ah,
Qu’est-ce qu’on était beaux!
Ah, ah,
Mais qu’est-ce qu’on était beaux!
Ah, ah,
Mais ça valait la peine.
Ah, ah...

[Michel Drucker]
C’est vrai que vous êtes beaux.